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Le sujet de la femme fatale est d’actualité. Le public recherche des informations et souhaite avoir des discussions plus approfondies à ce sujet. Avec la réédition de son livre-choc «L’Opération esthétique», l’auteure Pierrette Dotrice permet de sonder le sujet des manipulations sexuelles au sein d’une clinique privée de chirurgie esthétique.

Contenant des secrets troublants, le livre « L’Opération esthétique, journal intime d’une journaliste cobaye de la chirurgie esthétique » a été grandement médiatisé en 2006 avant d’être mystérieusement étouffé. Révélant des vérités explosives, dont un abus médical aux répercussions comparables au viol ou à l’inceste, la première édition du livre fit l’objet d’une procédure judiciaire à la Cour supérieure du Québec.

Maintenant réédité en deux tomes : Tome 1 « Liaison dangereuse d’une patiente avec son chirurgien » (imprimé et   électronique) et Tome 2 « L’Opération esthétique : la traversée du miroir » (électronique), cette enquête-témoignage lève le voile sur des dangers de la chirurgie esthétique dont on ne parle jamais: les manipulations séductrices en coulisses d’une clinique privée.

Fruit d’une double démarche alliant la psychanalyse et la chirurgie esthétique, ce journal intime richement documenté dissèque l’univers de la séductrice. Il constitue un espoir pour les hommes et les femmes qui désirent s’extraire de leurs jeux de séducteurs et de femmes fatales, racine même de la violence conjugale.

« Je suis entrée en chirurgie comme on prend le voile. Ex séductrice, j’ai été prise en otage par le Dr Jeckyl de la chirurgie esthétique. Déstabilisation émotive, violence, défiguration et intimidation, j’ai tout vécu sur sa table d’opération. Mon psychanalyste m’a rescapée d’une détresse qui me tenait prisonnière d’une toile d’araignée sournoisement tissée. Toute cette aventure m’a permis de sonder un sujet brûlant : que cache la violence des hommes ? Et si c’était le vampirisme dévorant des femmes ? »

L'amour et la foi ont réanimé mon visage qui, sans leur concours, serait resté ce que la chirurgie esthétique, prise dans son sens vulgaire, en aurait fait : une nature morte.

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