Vous rappelez-vous le décès de Micheline Charest, femme d’affaires morte sur une table de chirurgie esthétique? Ce fait s’est produit en avril 2004. au moment exact où je remettais mon manuscrit à mon éditeur : «L’Opération esthétique, Journal intime d’une journaliste cobaye de la chirurgie esthétique», paru en avril 2006.
Cette coïncidence a son importance, car jamais je n’aurais cru, après l’enfer vécu dans une clinique privée belge de chirurgie esthétique dont mon livre propose un témoignage littéraire à la fois profond et révoltant devoir affronter l’impensable au sein même de la justice.

Immigrée à Québec et auteure de six livres, a exploré les coulisses de la chirurgie esthétique. Son “enquête-témoignage”, «L’Opération esthétique, Journal intime d’une journaliste cobaye de la chirurgie esthétique» (publié par les Éditions Le Dauphin Blanc) questionne, pour la première fois, plusieurs sujets tabous et brûlants, dont les enjeux réels de la chirurgie esthétique, et du monde de la séduction.

J’ai mis du temps à comprendre le déluge de grâces qui se produisit dans ma vie après avoir prié Thérèse pour la première fois (suivant le suicide de ma mère le 23 mai 1999), car j’étais athée jusqu’à mes 42 ans. Je suis devenue croyante malgré moi, et au vu des prodiges dont me « canardait » littéralement sainte Thérèse lors de mon immigration précipitée de Belgique au Québec en mai 2002. Journaliste dans l’âme, je n’ai d’ailleurs cessé de demander (plus exactement d’exiger!) à sainte Thérèse des « explications » concernant ces coïncidences, véritable pluie de roses qui s’abattit soudainement et sans raison apparente sur mon existence à la veille de mon départ imprévu au Canada, et qui dure toujours depuis.