Éditorial 2008
12 janvier 2008
L’homme et la femme restent des prédateurs. Peut-être, au lieu de se dévorer, pourraient-ils oser l’amour et la beauté?
Oser la beauté est le défi de ce siècle, qui nous demande de lâcher les faux dieux de l’apparat, du pouvoir et du sexe pour accorder notre musique à celle de l’univers, joyeuse, spontanée, imprévisible, vibrante et saisissante de coïncidences.
L’Opération esthétique, Journal intime d’une journaliste cobaye de la chirurgie esthétique
Bienvenue sur ce site internet! Celui-ci vous donne l’occasion de mieux me connaître – dans mon rôle de femme séduisante et non plus séductrice ou prédatrice – , et vous présente ma mission et mes livres. Précisons que je n’ai pas choisi ma mission (pour l’athée que j’étais, ç’aurait été une folie!), au contraire c’est elle qui m’a fondu dessus, en 1996. Je suis donc devenue, «à contrario» et en vrac «journaliste de l’invisible, écrivaine psychique, missionnaire de l’amour et de l’esthétique». Un clin d’œil à ma licence de traductrice, obtenue à la rue Joseph Hasard, dans le quartier de la Bascule (sic), à Bruxelles? Une conspiration angélique, pour que je traduise… l’invisible? Mais vous me voyez ravie, au final, de cette «joke cosmique»!
Mon œuvre principale publiée à ce jour, «L’Opération esthétique», première «enquête-témoignage» absolument véridique d’une journaliste cobaye de la chirurgie esthétique, bouscule des idées reçues. Ce livre dévoile les coulisses du monde secret de la séduction, et provoque, du même coup, des remous dans la presse… qu’il prend un peu à rebrousse-poil, comme vous verrez dans la section «Médias». La section «Médias» vous propose donc mes entrevues en direct, en France et au Québec, à la télévision, à la radio et dans la presse écrite. Du moins celles qui peuvent être sauvées des archives!
Pour vous mettre en appétit – et préserver la sève du sujet – , nous avons préparé un livre virtuel, L’Opération esthétique en images (cliquez sur le cœur rouge). Ce prodige de mon graphiste (Jean-Philippe Côté) expose les photos d’une femme fatale repentie… soit celle que j’étais, dans une autre vie. Classés par tranches d’âge, ces clichés se dégustent avec des phrases extraites du livre. Souri…iez (tournez les pages avec votre souris), vous verrez comme c’est ludique! Jean-Philippe a pensé naturellement aux journalistes, qui trouveront ici des photos réservées à leur endroit pour reproduire dans leurs médias.
Les sections «L’Opération esthétique» et «Interview» complètent mon parcours «psychanalytico-esthétique» à faire dresser les cheveux sur la tête (j’en fus d’ailleurs défigurée durant cinq ans, au propre et au figuré, puisque mon ego de séductrice fut réduit en miettes par le bistouri). Pour les gourmets, la défilante photos ci-dessus («Bienvenue») distille d’autres clichés, de mes 2 ans à mon âge actuel, soit 48 ans, même si mon âge biologique est 30 ans. En passant par la «défiguration» ou la «lente agonie d’une femme fatale» qui fascine les journalistes, puisque la femme fatale reste l’idéal social (gloire au Moi illusoire, aux idoles, et aux armes de destruction massive!)… et que l’idée de mon livre, futuriste, est plutôt de pulvériser les masques, en réconciliant les psychologies et l’esthétique. En somme, «L’Opération esthétique» intrigue, car le livre débusque les «secrets honteux» refoulés dans nos psychismes. Un peu comme les «Liaisons dangereuses» de Choderlos de Laclos exploraient, dès 1782, ces travers exquis, tapis dans l’inconscient collectif…
… Une audace dont j’ai payé le prix, d’autant qu’elle porte un uppercut aux intérêts socio-économiques. Votre fantasme inavoué, mesdames (qui enviez mes photos de femme fatale), n’est-il pas d’être vous-même une garce? (ou une gentille infir-mère, ce qui peut être pire?) Et le vôtre, messieurs, n’est-ce pas de gagner à tout prix, en amours comme en affaires (gagner quoi, au fait)? Au prix de perdre notre âme et notre joie? Croquer autrui, n’est-ce pas le mobile des loups matérialistes (ou spirituels)… et des magazines rivalisant de stratégies pour mieux «tomber l’autre sexe»? Mais pourquoi séduire de façon si boulimique, et pour qui? Et qui tient les ficelles, au fond, de ce jeu de dupes voués au génocide? Pourquoi ces millions d’hommes et de femmes manipulés, timorés, mutilés, au corps d’enfant, qui souffrent de trahison du moi, et ne peuvent grandir sous leur façade d’indépendance? Pourquoi ces pantins pitoyables sacrifiant à l’image et contraints, par pacte social, de jouer un personnage qu’ils ne sont pas? En traînant finalement, derrière leurs richesses apparentes, une misérable existence, vide de sens? Comment pourraient-ils se reconnaître dans le miroir, puisqu’ils n’existent pas, dans l’âme? Qui propulse les gamines aveugles et anorexiques vers le bistouri? À qui profite cette illusion collective, sinon aux gourous de l’image et aux forces sombres?
Via «L’Opération esthétique» et les photos avant-après, ma première mission est donc d’introduire une vision humaniste et spirituelle de la chirurgie esthétique, en passant au crible (ou au bistouri) les enjeux ésotérico-politiques qui sous-tendent celle-ci. Notamment les relations sadomasos et cannibales entre les séduct(u)eurs et les femmes fatales. Ces derniers devraient d’ailleurs troquer l’amour du pouvoir pour la puissance de l’amour (comme dit joliment mon copain auteur Jean-Jacques Crèvecoeur, que vous trouverez dans les «Liens»), sous peine d’extinction expresse de la race humaine. Car, contrairement au chat, au chimpanzé et à d’autres espèces plus sages et efficaces, l’homme et la femme restent des prédateurs… qui sait, dès 2008, pourraient-ils oser l’échange, et se dire «Jeu t’aime»? Oser l’amour, et s’extraire ensemble des phobies de l’engagement et autres psychoses sociales, c’est plus aphrodisiaque, je vous promets!
Ces langoureux préliminaires nous mènent droit au point G… Zone brûlante et névralgique… Ainsi, comment vous procurer «L’Opération esthétique, Journal intime d’une journaliste cobaye de la chirurgie esthétique», dont la publication a causé une saga «médico-juridique» digne d’une enquête policière (d’ailleurs en cours au Barreau de Québec), alors que le «pouvoir blanc» tentait fébrilement d’étouffer le livre? Outre les librairies internet (Fnac, Amazone etc), les sources vous sont révélées dans la section «L’Opération esthétique». Plus d’infos dans les interviews, notamment mon entrevue avec Alain Fauritte (France 3, «C’est mieux le matin», section «Médias»). N’hésitez pas à me communiquer, dans la section «Contacts», toute anecdote croustillante relative à une commande de livre non satisfaite, ou hors délais! (elle peut servir mes avocats…)
La section «L’auteure et ses ouvrages» vous présente mes autres livres : «Oser l’amour dans tous ses états» (Éditions Un monde différent), «Oser la vie» et «Oser la santé» (Éditions Le Dauphin Blanc) ainsi que les adresses où les obtenir, en Europe ou au Québec (à l’exclusion des librairies internet, que vous trouverez en tapant simplement mon nom sur le net). Plus inoffensifs (quoique…) ces ouvrages vous permettront de réaliser vos rêves en croyant fermement à l’impossible, en amour comme en affaires, et d’évoluer gaiement dans la jungle des faux prophètes et autres mages qui font rage dans le big bazar du nouvel âge. Dans la section «Liens», mes partenaires (sur terre ou dans l’au-delà) vous souffleront quelques repères pour suivre la voie royale, ou la voie de l’âme. Tout comme la section «Autres activités», qui dévoile mon don caché (non choisi, lui non plus) : la médiumnité… un effet secondaire des «implants temporaux», mais chuuut, c’est trop tôt pour dévoiler ce scoop en public! Vous y trouverez des astuces pour reconnaître les charlatans, et autres extra(g)lucides qui nous roulent habilement dans le sucre.
La section «Témoignages», incluant les témoignages de personnalités vous rassurera sur ma santé mentale, tandis que «Rencontres-conférences» vous fournira des tuyaux pour me séduire (pour la bonne cause cette fois), si vous avez besoin de mes services (plus de sévices; allergiques au bonheur, s’abstenir!)
Bref, promenez-vous dans ce site, en butinant de-ci, de-là, telle Chaperon Rouge dans le bois, ou en lisant entre les lignes. Parions que vous aurez moult surprises à ramener dans votre panier d’osier… Que vous osiez, justement, tel est mon souhait, car derrière OSER et ses lettres, vous attendent la ROSE, EROS, et leurs divins secrets… esquissés dans «L’Opération esthétique», comme un trésor caché par la Bête et les forces de l’ombre. Oser VOIR, oser l’amour (vrai) et la beauté (véritable) ne sont-ils pas les défis du siècle?
Intrigue à suivre dans mon cinquième livre en six tomes, dont le premier tome vient de paraître : Les hantises amoureuses, Journal d’une médium miraculée par sainte Thérèse de Lisieux, suivi du deuxième tome: Les hantises amoureuses, Journal secret d’une médium confrontée à l’enfer des âmes égarées… ALERTE AUX VAMPIRES… ET SI CELA VOUS ARRIVAIT ? Une autre «enquête témoignage» qui m’est tombée sur la tête quand j’immigrais au Québec (en mai 2002). Si «L’Opération esthétique» dévoile la nuit de l’âme, «Les Hantises amoureuses» découvre la terrifiante nuit de l’esprit. Un scénario renversant et au-delà de la psychanalyse, mêlant sorcellerie, vies antérieures, coïncidences spectaculaires, saints et miracles… Une enquête sondant si profondément l’âme humaine et ses mystères que, tel Saint Thomas, je n’aurais crue si je ne l’avais vécue, d’autant que je n’ai jamais lu la Bible (voir introduction des Hantises amoureuses, tome 1 et tome 2, dans l’étoile verte ci-dessus). Comme tous mes autres livres, ces ouvrages peuvent être commandés sur le site (voir «Achats en ligne»).
Enfin, le comble pour l’écrivain, c’est qu’il n’a pas droit au chapitre… Dès lors, j’ai dit: «Suffit!» Mon œuvre à venir sera l’éloge de l’ordinaire, soit une retraite jeune, simple et tantrique d’ex journaliste cobaye dans les montagnes, avec l’homme de ma vie. La plus belle histoire, justement sans histoire, celle qui reste à écrire ensemble, corps et âme en guise de plumes! Une pluie de roses et de délices, l’explosion des sens et de l’essence… le paradis sur terre, comme dirait aujourd’hui Sainte Thérèse? En conclusion, je cours, légère, désencombrée de moi-même, de ce faux moi de prédatrice livré en pâture, au nom du public, de la science et du bistouri… Tandis que mon âme jouit, enfin libre, après ce baptême…
Rideau sur ces galipettes, je vous tire ma pirouette,
Pierrette Dotrice
Regardez comment cela se passe ordinairement: ces gestes tellement saccadés et fébriles, ce regard assombri de sensualité… l’homme veut s’assouvir, manger, déchirer, et à cet instant-là, la femme qui est tellement bête, se sent heureuse en voyant dans le regard de l’homme le désir de la dévorer! Elle devrait plutôt être effrayée de ce qui l’attend, parce que ce regard montre que l’homme est prêt à la saccager, à tout lui prendre; mais elle aime ça, elle ne demande que ça. Et même, s’il la regarde avec respect et émerveillement, avec une grande lumière et une grande pureté, elle n’est pas tellement contente: «Celui-là, pense-t-elle, je ne peux rien attendre de lui», et elle l’abandonne. Instinctivement, la femme aime se sentir comme une pâte dans les mains d’un boulanger, retournée, malmenée, tourmentée, ça lui plaît, tandis que le respect et les regards célestes ne lui disent pas grand chose. Le plaisir, tel qu’on le comprend pour le moment, finit toujours par se transformer en poison et en amertume. Or dès que la lumière et la chaleur sont là, c’est-à-dire l’intelligence et l’amour, le plaisir suit obligatoirement. C’est seulement la qualité du plaisir qui change, sa nature, son intensité.
— Omraam Mikhaël Aïvanhov
Je l’aime, je l’aime, me dites-vous! Oui, je réponds, je sais que vous l’aimez, mais comme une poule que vous mettez à la casserole pour la manger; vous l’aimez, vous la dévorez, et c’est fini. Non, l’amour ne doit jamais dévorer, abîmer les êtres, votre amour doit les faire grandir au contraire… Vous voyez, l’amour tel que je le comprends est très différent de tout ce que la foule ou la jeunesse, qui ne sont pas éclairées, peuvent imaginer.
— Omraam Mikhaël Aïvanhov
C’est l’amour qui compte, l’amour, pas la femme ou l’homme, sinon ils ne se quitteraient jamais.
— Omraam Mikhaël Aïvanhov
Je sais pourquoi les hommes et les femmes ne cherchent pas l’amour dans le soleil : c’est parce qu’on ne souffre pas auprès de lui, et eux, ils ont besoin de souffrir. Mais oui! Alors, pour trouver ces souffrances, ils vont chercher des hommes et des femmes.
— Omraam Mikhaël Aïvanhov
La force sexuelle est une énergie que l’on peut comparer au pétrole. Les ignorants et les maladroits sont brûlés, tandis que ceux qui savent l’utiliser volent dans l’espace.
— Omraam Mikhaël Aïvanhov
Vous devez avoir un associé très puissant à qui vous envoyez cette force sexuelle et lui, grâce à son savoir alchimique, parvient à la transformer en santé, en beauté, en lumière, en amour divin. Cet associé-là, c’est un haut idéal, une idée fondamentale avec laquelle vous vivez, que vous chérissez, que vous nourrissez, et c’est elle qui transformera cette énergie, pas vous. C’est pourquoi celui qui n’a pas d’idéal spirituel n’y arrivera jamais, et à celui-là on ne peut donner que ce conseil : trouve vite quelqu’un et marie-toi, sinon tu seras un danger public, et tu vas embêter le monde entier.
— Omraam Mikhaël Aïvanhov
De même que l’abeille ne mange pas les fleurs, l’initié, au lieu de dévorer les humains comme le font la plupart des gens, ne prend d’eux que ce qui est le plus spirituel. Grâce à ses connaissances alchimiques, il prépare dans son cœur, dans son âme, une quintescence, une nourriture, un parfum délicieux que les anges viendront recueillir.
— Omraam Mikhaël Aïvanhov
Tous les êtres humains sont appelés à extraire cette quintescence pour la transformer à l’intérieur d’eux-mêmes. Ils doivent apprendre à le faire, et pour cela travailler avec l’intelligence, le cœur et la volonté, car c’est avec ces trois éléments qu’on peut tout réaliser dans l’alambic intérieur. Voilà la véritable alchimie. Les grands initiés, qui sont les véritables alchimistes, n’enseignent que cela : comment devenir une abeille, comment extraire le meilleur de tout ce qui se trouve dans la nature et surtout chez les êtres humains : ils les regardent. ils leur parlent, chaque être humain, même le pire criminel, est une fleur pour eux. C’est merveilleux, et cette philosophie est écrite dans la nature. C’est là que les initiés l’ont découverte.
— Omraam Mikhaël Aïvanhov
La véritable beauté est celle de l’âme et de l’esprit, d’où cette importance capitale de la vision de l’homme de lumière. Apprends à t’élever vers les hauteurs pour capter une parcelle de la beauté divine qui te dépasse. Envoie tes pensées, sentiments, aspirations vers un grand idéal divin pour ensuite devenir un créateur bénéfique dans la réalité de la terre. C’est là le chemin sacré qui permettra la réalisation du monde divin sur la terre.
— Olivier Manitara