J’ai mis du temps à comprendre le déluge de grâces qui se produisit dans ma vie après avoir prié Thérèse pour la première fois (suivant le suicide de ma mère le 23 mai 1999), car j’étais athée jusqu’à mes 42 ans. Je suis devenue croyante malgré moi, et au vu des prodiges dont me « canardait » littéralement sainte Thérèse lors de mon immigration précipitée de Belgique au Québec en mai 2002. Journaliste dans l’âme, je n’ai d’ailleurs cessé de demander (plus exactement d’exiger!) à sainte Thérèse des « explications » concernant ces coïncidences, véritable pluie de roses qui s’abattit soudainement et sans raison apparente sur mon existence à la veille de mon départ imprévu au Canada, et qui dure toujours depuis.